SERIE : AMOURS CONTRARIES
C'est le combat que mène l’amour pour résister aux tentations et à la mort.
Amour pervers - Huile 145*114
Progression du travail :
Inspiré du ballet du jeune Homme et la mort mis au point par Roland Petit en 1946 issu d'un livret de Jean Cocteau. Sur une musique de Jean Sébastien Bach La Passacaille
Le jeune homme, peintre et sans le sous, est très amoureux d'une jeune femme qui le tourmente. En plein désespoir, elle l'incite à se suicider. Il se pend et la mort prend l'apparence de la bien aimée.
Quelques photos du ballet:
Amour aveugle - Huile 73*100
Progression du travail :
Inspiré du ballet d'Orphée et Eurydice monté par Pina Bausch qui donne corps à la partition de Christoph W. Gluck.
Issu d'une célèbre histoire d'amour de la mythologie grecque, Orphée rejoint les enfers pour retrouver sa bien-aimé Eurydice. Il manque à sa promesse de ne pas se retourner, de ne pas la regarder et la perd à tout jamais. Il en mourra lui même.
Amour & Ambition- Huile 73*100
Progression du travail :
Inspiré du ballet de Roland Petit CLAVIGO lui même inspiré de la pièce de Goethe
Le jeune homme Clavigo séduisant et ambitieux rencontre Marie lors d’un bal. Elle l’aime dès le
premier regard. Mais il rompt avec elle car sa liaison peut déranger son avenir politique. Puis il le regrette et rompt de nouveau. Elle en meurt et son frère la venge en tuant
Clavigo.
SERIE : CLAIR OBSCUR
Des corps qui sont là sans l’être, luttent entre la lumière et l’ombre
Evanescence- Huile 60*73


Travail à l'Opéra inspiré d'une photo de présentée par Benjamin Millepied de 1950
Apparence- Huile 60*73

Inspiré du ballet Giselle d'Helgi Tomasson et Yuri Possokhol
Giselle, jeune paysanne au cœur fragile, aime Albrecht. Elle danse en son honneur, faisant fi des remontrances de sa mère, qui lui rappelle l’histoire des wilis, ces tristes jeunes filles transformées en fantômes pour avoir trop dansé. En réalité Albrecht lui ment, il est duc et fiancé. Giselle en perd la raison et s’effondre sans vie. Venus se recueillir la nuit sur la tombe de Giselle, Albrecht est en proie aux wilis et leur reine, qui les condamne à danser jusqu’à la mort. Sortant de sa tombe, Giselle, nouvelle wili, tente d’intervenir. Albrecht ne sera sauvé que par les premières lueurs de l’aube qui font rentrer les wilis dans leurs tombes.
«Giselle meurt : Albert éperdu se relève Et la réalité fait envoler le rêve, Mais en attraits divins, en chastes voluptés, quel rêve peut valoir votre réalité ?» Théophile Gautier
SERIE : FULGURANCE
Les corps qui se déplacent, s’imitent, s’estompent … un instant de vie, notre passage sur terre
Plus corps qu'âme - Huile 38*46
Inspiré du ballet Serenade de Georges Balanchine
Un jeune hommes après avoir séduit une soliste « s’envole » avec la seconde. Restée seule, la jeune fille dévastée se meurt.


ENVOLEE - Huile 120*160 et 38*46
Inspiré du Sacre du Printemps de Pina Bausch
Le Sacre du printemps narre un rite païen russe : celui du sacrifice à l'orée du printemps d'une jeune fille, l’Élue. La première partie repose sur la danse des jeunes filles, un moment de quasi insouciance, les corps s'entrechoquent, se tordent, luttent puis s'unissent. Puis avec l'arrivée des hommes commence le second tableau qui se conclue par le choix de l’Élue et le sacrifice.
SERIE : PASSAGE
Un instant suspendu, en équilibre. Un passage de vie… une vie.